Hookers néo‑zélandaises à Paris – Tout ce qu’il faut savoir
Vous avez vu des pubs ou entendu des potes parler des « kiwis » qui se baladent dans la capitale et vous vous demandez ce qui se passe réellement ? Ici on décortique le marché des hookers néo‑zélandaises à Paris, on vous donne le aperçu des profils, des services et des coins où les croiser, le tout sans chichis et sans promesses de luxe à la con.
Quel type de filles kiwi on trouve à Paris
Les néo‑zélandaises présentes à Paris sont très variées, mais il y a quelques repères qui reviennent souvent. La plupart sont dans la tranche 22‑35 ans, souvent expatriées depuis quelques mois, parfois déjà bien installées. Elles partagent un look typique : cheveux blonds ou châtains clairs, souvent légèrement ondulés, une silhouette athlétique ou curvy selon le goût, et un accent qui passe de l’australien à l’anglais britannique, parfois même un petit « kiwi‑slang » qui fait sourire les clients habitués.
Leur niveau d’anglais est généralement fluide, ce qui attire les expatriés anglophones et les touristes. Certaines maîtrisent le français de base, assez pour les mots de politesse et les consignes, mais le plus souvent la conversation se fera en anglais. Côté motivation, beaucoup sont venues à Paris pour travailler dans l’hôtellerie ou la restauration et complètent leurs revenus en étant disponibles à la nuit. D’autres sont déjà dans le métier avant d’arriver, donc elles arrivent avec de l’expérience et connaissent les ficelles du jeu.
On retrouve aussi des profils plus rares : des filles qui ont vécu une partie de leur vie à Sydney ou Auckland, donc habituées à un public international, et qui savent s’adapter à différents styles de jeu. Elles peuvent être plus ouvertes à des jeux de rôle, à la GFE (girlfriend experience) ou au PSE (porn star experience) selon le client. En gros, il y a des « soft » qui préfèrent le câlin, la conversation, les baisers, et des « hard » qui sont prêtes à tout, mais toujours dans les limites que la fille a posées.
Services proposés et styles de rencontre
Les néo‑zélandaises à Paris offrent une gamme de services qui ressemble à ce que vous trouvez chez n’importe quelle escort, mais avec une petite touche kiwi : un côté détendu, un humour un peu décalé, et souvent une volonté de faire ressentir le côté « girlfriend » plutôt que « pro ». La GFE est très populaire : elles jouent le rôle de la petite amie du jour, avec caresses, câlins, petites discussions sur le quotidien, et souvent un petit « kiss goodnight » à la fin.
Pour ceux qui veulent du plus brut, le PSE, certaines filles aiment mettre le turbo, faire du rôle de star de cinéma, avec des positions plus aventureuses, du jeu de rôle porno, des jeux de domination / soumission légers. Elles sont généralement claires sur ce qui est inclus et ce qui ne l’est pas. Le « full service » (tout le package) est proposé par la plupart d’entre elles, mais les limites varient : certaines refusent le sexe anal, d’autres limitent les jeux de fétichisme. Le dialogue avant le rendez‑vous reste la règle d’or pour éviter les mauvaises surprises.
Les formats de rendez‑vous sont simples : incall (vous allez à leur lieu, souvent un appartement discret dans le 10e ou le 11e, ou une petite chambre d’hôtel) et outcall (elles viennent chez vous ou à l’hôtel que vous avez réservé). Les incalls sont généralement plus calmes, moins de pression de déplacement, et les outcalls sont pratiques si vous avez déjà un plan ou une soirée à Paris. Les deux formats sont disponibles, la fille vous indiquera ce qui lui convient le mieux.
En plus du « couch‑surf » classique, vous trouverez des sessions plus longues, comme le « date night » où vous commencez par un dîner (souvent à votre charge) suivi d’une soirée dans la chambre, ou le « morning after » où la rencontre commence tard et se prolonge jusqu’au petit‑déjeuner.
Où les rencontrer dans la capitale
Paris est vaste, mais les néo‑zélandaises se concentrent principalement dans quelques quartiers qui offrent à la fois discrétion et accès facile. Le 10e arrondissement, notamment autour de la Gare du Nord et Canal Saint‑Martin, est un point chaud : beaucoup de chambres d’hôtes, de petits studios, et les filles y ont leurs incalls. Le 11e, autour de la rue Oberkampf et de la Place de la Bastille, regroupe un mix de bars et d’appartements, parfait pour les outcalls nocturnes.
Le quartier Latin et le Panthéon attirent les étudiants étrangers, donc vous y croiserez parfois des kiwi qui parlent français et qui travaillent à la soirée. Montmartre, avec ses ruelles pavées et ses petites résidences, reste un repaire classique pour les incalls plus cosy. Enfin, le 16e arrondissement, plus bourgeois, voit passer des filles qui préfèrent un cadre chic et qui proposent souvent un outcall dans des hôtels haut de gamme.
Les plateformes de mise en relation et les forums spécifiques aux expatriés mentionnent régulièrement des adresses de type « studio près de la Gare de l’Est », « appartement au 3ème étage du 13e », ou « chambre d’hôtel à proximité du Marais ». Aucun besoin de GPS ultra‑précis : un simple échange de messages suffit pour fixer le point de rencontre. Les filles sont habituées à indiquer le quartier, le numéro d’étage, et parfois le code d’entrée si nécessaire.
Si vous êtes du coin ou si vous avez déjà un plan dans la ville, pensez à vérifier les réseaux sociaux et les communautés d’expatriés où les kiwi partagent parfois des soirées « meet‑up ». C’est un bon moyen de voir qui est active, quels sont les styles de jeu du moment, et surtout de repérer les filles qui sont vraiment à l’aise avec les clients francophones.
En résumé, les hookers néo‑zélandaises à Paris offrent un mélange de fraîcheur anglo‑australienne, de professionnalisme et de spontanéité. Que vous cherchiez une soirée GFE tranquille, un PSE plus intense, ou simplement la compagnie d’une fille qui sait parler anglais et vous faire passer un bon moment, il y en a pour tous les goûts. Gardez en tête les quartiers cités, choisissez le format incall ou outcall qui vous convient, et échangez rapidement avec la fille pour être sûr que vos attentes sont alignées.
Bon jeu, et n’hésitez pas à revenir ici si vous avez besoin d’un rappel sur les points essentiels : type de filles, services proposés, et où les trouver. Vous savez maintenant où chercher, et comment reconnaître la bonne vibe parmi les kiwi de Paris.